8h à Las Vegas
Je déteste Las Vegas. Je
crois que je détestais toujours Las Vegas. Dès que j’y étais pour la première
fois, j’avais l’horreur de la fumée, des images des femmes à demi nues, de la
circulation, des foules – tous ce qui pour moi représentait Las Vegas. Dans ma
juste colère je me rappelle dire mes parents que je souhaitais que toute la
ville soit réduite en cendres. Car tous en Las Vegas est bas de gamme. Tous en
Las Vegas est grossier. Tous en Las Vegas est faux. Là on peut voir la Tour
Eiffel, le Colisée, des châteaux et des fontaines, mais tous est une
illusion ; il n’y a rien de véritable.
Par contre, le peuple à Las Vegas, est compris
toujours des êtres humains. Au-delà de
la façade tape à l’œil sont les individus avec des vœux, des épreuves et des
craints. Comme un homme m’a dit, « Las Vegas is your vacation, but it’s my
home. »
Les citoyens de Las Vegas
sont entourés de la tricherie. Il se méfie des inconnus. Plusieurs personnes
refusaient de me permettre à leur prendre les photo, ou en certains cas, même de
m’écouter.
Parmi des monuments faux et le décor
voyant, les êtres humains paraissent petites, perdues. Une femme m’a raconté,
« Las Vegas is such a transient city. Everything changes so fast. »
Las Vegas est bâtit sûr les paradoxes. Les
riches, les malheureux, les touristes qui envahissent chaque jour, les vendeurs et les parieur sont tous côte à côte
dans cette ville vivante, moche, belle, et sale. Une ville aussi complexe que
ses habitants et ses visiteurs, il existe une énergie unique malgré sa laideur.