En étudiant
Baltz, je me trouvais frappé par ses images plats et simple, mais dans leur
beauté, nous avons discuté le but de ses images. Les photographes de la
nouvelle topographie semblaient d’avoir toujours un thème, un point pour
prendre leurs images. Après avoir pensé sur leurs idées, j’avais une idée pour
mélanger les images de Baltz avec le thème d’esthétique moderne- en photographiant les
poubelles.
Le déchet nous
encercle. Ce n’est pas une chose désirable, mais une chose humaine. Les gens
produisent le déchet par tout simplement l’existence de leur vie. Néanmoins, les humains désirent les choses
belles pour ne que leur beauté. Pour l’autre raison est-ce que l’art continue
aujourd’hui ? Il existe seulement pour la sensibilité des hommes. Ça
apparait aussi dans nos poubelles.
Ça m’amuse, les
lignes ondulantes sur les cylindres qui ne contiennent que la bouillie pourrie.
Les jolies boîtes de bois qui tient leur trésor comme d’or. Non, c’est pas des
bijoux- c’est tout simplement une bouteille collante, un sac de plastique ruiné
par le lait caillé ; il n’existe pas de valeur ici.
Peut-être que les
poubelles eux-mêmes ne sont pas jolie, mais le contraste entre leur bâtiments
beaux étaient la chose qui me frappait. C’est comme les habitants exposent
leurs secrets.
« Regardez-nous, nous semblons sage et bien assemblé,
mais nous-mêmes avons nos déchets.»
Mais ce n’est pas une mauvaise chose, cette envie de l’esthétique. C’est
juste amusant de la voir dans la base de notre société- même dans nos
poubelles.
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