Monday, November 7, 2016

Les Recherches pour beauté dans un Super 8

Quand nous avons parlé de William Eggleston et ses plaintes à propos de la laideur du Memphis, je me sentais la même- il n’y a rien de chose belle à photographier ici. Heureusement pour Eggleston, son ami John Szarkowski, un conservateur du MOMA, lui a dit de faire photographier les choses déplaisantes.

Je viens du Midwest, mais je me trouve la nature là plus riche; les couleurs des nombreux arbres, les bâtiments construisaient dans le XIXème siècle encerclés par les plantes grimpantes, c’est plus beau que le monde de béton et l’architecture des années ’80 d’ici. Je n’ai aucun amour pour ses choses. Quand on parle de la beauté, c'est bien sûr subjectif, alors, c'est juste ma définition de la beauté. 

Récemment, j’ai passé une nuit dans un Super 8 en Idaho. Vraiment, je ne suis pas une snob quand je choisis une hôtel– mon portefeuille m’exige d’être économe. S’il y’avait un lit propre et une douche, je pourrais dormir n’importe où. Néanmoins, je ne mentirai pas- cet hôtel n’était pas beau. Il avait grand besoin d’une rénovation. Avec ce tâche de l’essai à l’esprit, j’ai pensé et j’ai rejeté idée après idée et soudainement dans ma tête, il y’avait Eggleston et ses photos de Memphis. Il avait fait plus avec les couleurs et les photographes de rue, mais en jetant un coup d’œil autour la chambre, j’ai reconnu la possibilité de découvrir les belles formes en noir et blanc. Alors, j’ai pris le conseil de Szarkowski, et j’ai photographié la laideur. 







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