Tuesday, November 15, 2016


8h à Las Vegas
            Je déteste Las Vegas. Je crois que je détestais toujours Las Vegas. Dès que j’y étais pour la première fois, j’avais l’horreur de la fumée, des images des femmes à demi nues, de la circulation, des foules – tous ce qui pour moi représentait Las Vegas. Dans ma juste colère je me rappelle dire mes parents que je souhaitais que toute la ville soit réduite en cendres. Car tous en Las Vegas est bas de gamme. Tous en Las Vegas est grossier. Tous en Las Vegas est faux. Là on peut voir la Tour Eiffel, le Colisée, des châteaux et des fontaines, mais tous est une illusion ; il n’y a rien de véritable.  
                                   

Par contre, le peuple à Las Vegas, est compris toujours des êtres humains.  Au-delà de la façade tape à l’œil sont les individus avec des vœux, des épreuves et des craints. Comme un homme m’a dit, « Las Vegas is your vacation, but it’s my home. »



            Les citoyens de Las Vegas sont entourés de la tricherie. Il se méfie des inconnus. Plusieurs personnes refusaient de me permettre à leur prendre les photo, ou en certains cas, même de m’écouter.   
                                                       

            Parmi des monuments faux et le décor voyant, les êtres humains paraissent petites, perdues. Une femme m’a raconté, « Las Vegas is such a transient city. Everything changes so fast. »



            Las Vegas est bâtit sûr les paradoxes. Les riches, les malheureux, les touristes qui envahissent chaque jour, les  vendeurs et les parieur sont tous côte à côte dans cette ville vivante, moche, belle, et sale. Une ville aussi complexe que ses habitants et ses visiteurs, il existe une énergie unique malgré sa laideur.


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